Quelle chance !
J’ai découvert il y a peu Thomas d’Asembourg. Ou plutôt je l’ai redécouvert, car j’avais lu, par le passé, le livre qui l’a fait connaître : « Cessez d’être gentils, soyez vrais ». J’avais tout simplement oublié qu’il en était l’auteur. Depuis, j’écoute avec joie des extraits de ses conférences, et j’apprécie l’homme, sa paix, sa sérénité, sa compétence dans ce que l’on appelle la « Communication non violente ».
L’extrait proposé est bref, trop peut-être, mais il permet néanmoins de souligner la « vision positive ». Depuis le début des années 2000, une branche de la psychologie, appelée psychologie positive, a vu le jour dans le monde médical. Alors qu’avant la psychologie permettait de soigner les graves maladies psychologiques, voire psychiatriques (déprime, tristesse, dépression, anorexie, etc) depuis le début du 21e siècle, donc, on a travaillé sur la vision positive. Pas seulement la vision positive de la vie, mais la vision positive des petits événements.
C’est un entraînement, que nous pouvons faire : souligner et ressentir toutes les petites satisfactions de la journée. Pour ne pas les banaliser, pour les valoriser à ce qu’elle sont.
Et pour les chrétiens, en profiter pour dire « Merci Seigneur ! »